Faut-il être radical pour être entendu ?
Écologie bourgeoise, militantisme de salon… Depuis quelques mois, les critiques face à l’(in)action climatique de certains acteurs se multiplient. Face au revers généralisé que subit la cause écologique, nombre de militants se tournent vers un discours et des actions plus radicales.
Alors faut-il choquer, ou privilégier l’action violente, pour faire bouger les lignes ? Ce retour de bâton dans l'opinion publique n'est-il pas justement lié à des actions radicales et médiatisées ? D'ailleurs, qui décide de ce qui est radical ou pas ? Enfin, une action perçue comme radicale est-elle plus efficace que d’autres pour faire bouger les lignes ?
Avec L’ADN et nos témoins, on explore les questions posées par cette notion protéiforme.
Alors faut-il choquer, ou privilégier l’action violente, pour faire bouger les lignes ? Ce retour de bâton dans l'opinion publique n'est-il pas justement lié à des actions radicales et médiatisées ? D'ailleurs, qui décide de ce qui est radical ou pas ? Enfin, une action perçue comme radicale est-elle plus efficace que d’autres pour faire bouger les lignes ?
Avec L’ADN et nos témoins, on explore les questions posées par cette notion protéiforme.
Thomas BRAIL , Fondateur du Groupe National de Surveillance des Arbres, Arboriste grimpeur
Wolfgang CRAMER , Directeur de Recherche, CNRS, Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE)
Brigitte GOTHIERE , Cofondatrice et directrice de L214
Léna LAZARE , Co-fondatrice de Youth for Climate en France
Modération : Guillaume LEDIT, Directeur éditorial de l'ADN